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Prix de vente des revues 5€ pièce plus 4€ de frais d'envoi & emballage.
un survol avec votre souris sur la couverture de la revue, il apparaîtra la table des matières.
- Répertoire des articles Revue du Terroir 1 à 63
- 65 Nos Poilus d'Orient.
- 64 Nos "LIONS D'HEBUTERNE"
- 63-1 Un siècle de sport à Villeneuve d'Ascq
- 63-2 Un siècle de sport à Villeneuve d'Ascq
- 62-2 Les poilus prisonniers de Maubeuge et autres captifs d'Ascq, Annappes & Flers
- 61 - Un siècle de sport à Villeneuve d'Ascq.
- 60 La Résistance à Annappes, Ascq, Flers-lez-Lille et son rôle dans la Libération juin 1940 - septembre 1944
- 59 - Un Ascquois "Loup du Bois-le-Prêtre"
- 56 - Hommages au Docteur Mocq médecin et historien d'Ascq
- 55 André Delqueux et le musée du terroir
- 54 Teintureries et teintures, Armoiries et la suite
- 53 Témoins de la Grande Guerre
- 52 - Napoléon et les Brigode
- 27 - Supplément
Clemenceau les avait affublés avec mépris du surnom de « jardiniers de Salonique ». Mais on comprend aujourd’hui qu’ils ont eu une action décisive dans l’issue de la Grande Guerre et qu’ils ont bien plutôt été les « jardiniers de la VICTOIRE finale ».
L’historien Jean-Yves Le Naour le confirme dans un ouvrage récent : « Avec l’écroulement de la Bulgarie, en septembre 1918, puis l’effondrement ottoman, en octobre, l’Autriche et l’Allemagne, isolées, ont toutes deux été contraintes de hisser le drapeau blanc pour éviter la défaite désormais inexorable. »
Environ 500 000 soldats français ont rejoint « l’Armée d’Orient » de 1915 à 1920. Y avait-il des Nordistes parmi eux ? Cela méritait bien une recherche. Elle a été menée par Bernard Théry pour la Société Historique de Villeneuve d’Ascq. La plongée dans les Archives départementales du Nord a permis de retrouver la trace de nombreux soldats venus des 128 communes de l’arrondissement de Lille : pour les seules classes 1911 à 1915, 2 101 poilus dans le seul bureau de recrutement de Lille ont été « embarqués » pour l’Orient ; et parmi ceux des classes 1889 à 1920, 536 y ont laissé la vie : 361 tués (67,35%) et 175 morts de maladie (32,65%).
La recherche se présente en quatre parties :
1ère PARTIE : Du détroit des DARDANELLES aux gorges du VARDAR. Où l’on découvre comment les Turcs sont entrés en guerre, comment le jeune Churchill a cru pouvoir traverser le détroit des Dardanelles, à leur nez et à leur barbe ; son échec sanglant ; le débarquement sur la presqu’île de Gallipoli défendue par un certain Mustapha Kemal ; l’échec des Alliés et leur départ vers Salonique pour venir au secours de l’armée serbe en déroute ; et l’éprouvante retraite de nos troupes, poursuivies par un nouvel ennemi, les Bulgares.
2ème PARTIE : Du golfe de SALONIQUE aux lacs d’ALBANIE (1916-1917). Où l’on découvre que loin d’être « planqués » au soleil, nos poilus ont combattu sans cesse le long de la frontière gréco-serbo-bulgare, à Monastir, Florina, Koritza, au Skra di Legen. Et comment ils ont dû se battre contre des ennemis de l’intérieur, les Grecs et les comitadjis macédoniens. Et se battre aussi contre le paludisme.
3ème PARTIE : DEUX GÉNÉRAUX POUR UNE VICTOIRE, Guillaumat et Franchet d’Espèrey (1918-1920). Où l’on fait connaissance avec les deux officiers qui ont créé les conditions de la victoire en Orient et précipité la victoire finale. Guillaumat d’abord qui a réorganisé l’Armée d’Orient, Franchet d’Espèrey, ensuite qui a brillamment conçu la stratégie de la victoire. On suit la progression fulgurante de nos troupes vers le nord de la Macédoine et la dernière grande chevauchée de notre cavalerie.
4ème PARTIE : ARMISTICES et derniers COMBATS (sept. 1918-sept. 1920). Où l’on court au Danube et où l’on découvre qu’il y a eu d’autres armistices avant celui du 11 novembre et que la guerre a continué après cet armistice, en Roumanie, en Hongrie, en Russie bolchevique ; où l’on apprend l’existence d’une guerre gréco-turque, le massacre de Cilicie ; où l’on suit les Français et les Anglais au Levant.
Ces textes sont abondamment illustrés de photos et de cartes qui permettent de suivre l’épopée de nos poilus dans ces Balkans inconnus du grand public. Des poilusd’Orient victimes d’une injustice mémorielle. Ils méritent qu’on n’oublie pas leurs souffrances et leurs exploits.
5ème PARTIE : Les 57 738 pages des 74 volumes disponibles à ce jour pour ces cinq classes ont été feuilletées. La recherche a permis de relever non seulement les noms de nos soldats, mais aussi leurs lieux de naissance et de résidence, leur profession. Grâce au n° de matricule, le lecteur pourra découvrir beaucoup de détails et préciser pour chaque poilu son parcours, le nom de ses parents, ses blessures, ses décorations, le texte de ses citations… La liste des soldats « passés » en Orient a été complétée, grâce au remarquable site MemorialGenWeb, par un relevé, dans les 128 communes, de tous les soldats de l’arrondissement de Lille morts pour la France dans toutes les classes (1893 à 1920). Leur nombre s‘élève à 368, mais il ne s’agit là que des soldats dont les noms figurent sur les monuments aux morts, auxquels il faudrait ajouter ceux qui sont revenus d’Orient indemnes, malades ou blessés. »
Né à Ascq en 1947, Bernard Théry, professeur agrégé de Lettres classiques, a enseigné dans plusieurs établissements de la région lilloise. Il a effectué des recherches sur des membres de son entourage qui ont participé à la Grande Guerre. Il a notamment écrit plusieurs articles pour la « Revue du Terroir » : Un Ascquois « Loup du Bois-le-Prêtre » : Edmond Gallois et ses frères dans la Grande Guerre ; Les poilus oubliés de Maubeuge (Ascq, Annappes et Flers) : 1ère Partie, Le siège (25 août - 8 septembre 1914) ; 2e partie, L’exil : les poilus prisonniers de Maubeuge et autres captifs d’Ascq, Annappes et Flers (août 1914 – janvier 1919) ; Nos « lions d’Hébuterne » et autres poilus d’Ascq, Annappes et Flers sacrifiés dans les offensives de 1915.
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les 5 revues RT65 =12 € - règlement par chèque (à l’ordre de la S. H. V. A.) ou espèces.
ou par courrier: frais de port & emballage 3€ soit : 15€
S. H. V. A. -- avenue du bois - ferme saint-Sauveur -- 59650 VILLENEUVE D’ASCQ.
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- Ascq face à la tragédie
- Flers-Bourg - Autrefois et aujourd'hui...
- C'était avant la nuit.
- Les mille et une vies d'Alexander Falkenhausen
Livre Disponible à la ferme Saint-Sauveur au prix de 12€
Ascq face à la tragédie.
L’ouvrage rend compte de la tragédie qui frappa la petite ville d’Ascq pendant l’Occupation, unique drame en France avant le Débarquement. Les documents et témoignages publiés montrent le déchaînement de violences dont les civils furent victimes durant la nuit des Rameaux 1944. Témoignages de solidarité avec les 86 victimes, évocations du procès des bourreaux et commémorations montrent combien ces événements sont fondateurs de l’identité de l’actuelle ville de Villeneuve d’Ascq.
il reste 2 exemplaires en stock. il n'y aura plus d'édition papier.
Avant-propos
Au XVIIsiècle, Flers était un bourg avec son église et plusieurs seigneuries disséminées dans la campagne, avec château et souvent ferme associée : les seigneuries du Breucq, de la Coisnerie ou Cousinerie, du nom du Sire de Coisnes, du Fresnoy, de La Haye, du Joncquoy, des Prés, de Quiquempois, du Ribaut Escoeul devenu Le Recueil, du Sart, du Vieux Bus ou Bois, près de l’Hemponpont, et bien sûr celle de Flers, dont le château abrite l’Office de tourisme.
Au XIXsiècle, le Breucq, implanté sur la route de Lille à Roubaix, près d'un pont sur la Marque, voit arriver des industriels attirés par l’eau de la Marque : filature, teinturerie, industrie chimique. Le quartier se développe autour de ce noyau industriel. Les usines s’entourent de petites maisons pour les ouvriers. Les commerces arrivent attirés par cette zone de chalandise, tandis que les patrons édifient un peu à l’écart, leurs somptueuses résidences sur le Sart.
En 1936, Flers devient Flers-lez-Lille et le restera jusqu’en 1970.
Bernard Delvart
Livre(s) à retirer à la S. H. V. A. ferme St-Sauveaur, Avenue du bois - 59650 VILLENEUVE D'ASCQ à 23€ le livre - Format 21 X 29.7 cm - 300 pages environ et plus de 600 photos
18€ - à la ferme saint--Sauveur.
De sa naissance en 1898 à Ascq, bourgade du nord de la France à sa mort le 1 avril 1944, la vie de Gaston Baratte est emblématique à bien des égards. C'est avec le désir de laisser une trace de son histoire qu'écrit son fils André. 76 ans après les événements qui valurent la vie de son père.
Ce livre rend hommage à un homme engagé. Fidèle aux valeurs d'entraide et de solidarité de sa région. Homme d'industrie et homme de cœur. Grand sportif. Figure de la Resistance pendant l'Occupation, il a marqué toute une génération d'Asquois, ouvrier ou contremaitre, footballeur. Simple citoyen ou résistant.
Ce livre est aussi un témoignage du choc que représenta, pour de nombreuses familles d'Ascq, la perte d'un père, d'un fils, d'un époux ou d'un frère lors de cette nuit historique du 1"" avril 1944 qui valut la mort de 86 hommes. Tués par la barbarie nazie.
" Je m'interrogeais sur la raison pour laquelle les membres du conseil municipal d'Ascq avaient débaptisé la rue Marceau et choisi le nom de cet homme parmi les 86 victimes de la terrible tragédie. La réponse vint tout naturellement ». Jacqueline Duhem, auteure de Ascq 1944. L’Oradour du Nord | "Parce que ce n’était pas un homme ordinaire. La biographie écrite par son fils et sa famille est un résumé de la mémoire d'Ascq de la Belle Époque au milieu du XX siècle, » Sylvain Calonne. Président de la Société historique de Villeneuve d'Ascq. |
Ce livre a été écrit avec l'aide de Lucie Baratte arrière-petite-fille de Gaston, sous la plume de Sophie Razel.
Le général Alexander von Falkenhausen a gouverné Le Nord-Pas-de-Calais et la Belgique de 1940 à 1944. Mais sa vie ne se réduit pas à ces quatre années sombres.
Pour la première fois, l'historienne Jacqueline Duhem retrace le parcours de cet aristocrate prussien du IIe Reich à la République fédérale d'Allemagne. Elle nous emmène dans les pas de ce militaire qui a vécu au Japon, en Chine, aux États-Unis, dans l'Empire ottoman, en Belgique, en France, en Italie.
La vie d’Alexander von Falkenhausen est digne d'un roman, car il est le témoin, mais aussi l'acteur de l'histoire tumultueuse de l'Allemagne et du monde. Il a côtoyé Guillaume II, Erich Ludendorff, Mustapha Kemal Atatürk, Adolf Hitler, Hermann Goering, le maréchal Rommel, Chiang Kaï-shek, le roi Léopold III de Belgique et aussi Léon Blum …
Décédé en Allemagne en 1966, le général Alexander von Falkenhausen, responsable de la mort de plusieurs milliers de personnes en Belgique et dans le nord de la France, avait épousé, à la fin de sa vie, une résistante belge.
Jacqueline Duhem, agrégée d'histoire, est membre de la société historique de Villeneuve-d'Ascq (SHVA) et de la Commission historique du Nord. Elle a déjà publié 2 livres aux Lumières de Lille dont une histoire du massacre d’Ascq d'avril 1944.
20€ - en vente à la ferme saint-Sauveur
"Le Cri d’Ascq" lancé la première fois en novembre 1948, à l’initiative de Pierre BEAUCAMP, rendait compte des activités du club (U.S. Ascquoise) mais également de celle des autres sociétés locales. La parution s’arrête en décembre 1954, après 73 numéros. Il est relancé en septembre 1970 jusqu’en Juin 1979, sous le contrôle du docteur Jean-Marie Mocq et de Jean-Pierre Beaucamp (U.S. Ascquoise). Après 83 parutions, celui-ci n’est plus édité, mais il renaîtra de ses cendres en décembre 2011, avec le n° 84 et s’éteindra de nouveau en septembre 2012 au n° 91.
Grâce à la gentillesse de Jean-Pierre Beaucamp qui nous a autorisé à numériser ces numéros, ce sont des milliers de souvenirs qui s'offrent à vous.
Bernard D.
le cri d'Ascq 1949
le cri d'Ascq 1950
le cri d'Ascq 1951
le cri d'Ascq 1952
le cri d'Ascq 1953
le cri d'Ascq 1954
le cri d'Ascq 1970
le cri d'Ascq 1971
le cri d'Ascq 1972
le cri d'Ascq 1973
le cri d'Ascq 1974
le cri d'Ascq 1975
le cri d'Ascq 1976
le cri d'Ascq 1977
le cri d'Ascq 1978
le cri d'Ascq 1979
Barrières Ouvertes
était un magazine bi-mensuel de la paroisse Saint-Pierre d’Ascq. Pour chaque numéro, nous avons scanné la première page et les articles spécifiques à la paroisse.